Last updated on février 12, 2020
Ces dernières semaines, on a pu constater de grands changements dans la ville d’Antananarivo. De mon côté, j’ai pu constater moins d’embouteillage sur une des plus grandes routes où il y avait eu un grand trafic auparavant. Un exemple palpable est la route d’Anosibe. Beaucoup de personnes sont ravies de la situation, moi aussi en tant qu’usager de la route car c’est trop bien de ne plus planifier les heures d’embouteillage pour aller travailler. D’autres personnes, en particulier les vendeurs sur ces trottoirs ne sont pas contents de la situation. Mais remettons-nous à la légitime organisation pour savoir ce qui est accepté.
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La bonne organisation
C’est quand on passe constamment dans les villes où il y a des bouchons qu’on revendique l’organisation. Une organisation non négociable, “la route pour les usagers de voitures, les trottoirs pour les piétons et enfin le marché pour les vendeurs”. En fait, c’est à cause du non-respect de cette organisation que de nombreuses situations inconfortables pour tous ont été créé. Le plus grand problème était les retards qui affectent tout type d’activité et rendez-vous. Avec l’embouteillage aussi, des conséquences comme les pertes de temps et le stress ont été vécu par tout le monde. Alors si une bonne organisation est possible, pourquoi ne pas l’appliquer pour éviter ces conséquences.
Acceptons et faisons durer l’organisation
Les forces de l’ordre ainsi que la Mairie interviennent actuellement pour régler le problème routier. Mais est-ce que ce changement va demeurer ? N’y aura-t-il plus d’embouteillage ? La réponse ne provient pas des polices routières. Elle vient de chacun de nous. Acceptons toute organisation, agissons comme bon citoyen. Il suffit de ne pas acheter sur le trottoir pour que les vendeurs vendent uniquement aux marchés. Il faut aussi respecter les trottoirs et les passages piétons en parallèle et ne pas s’amuser sur la route. Je suis sûre que nous sommes nombreux à gagner plus de temps car il y a moins d’embouteillage pour l’instant. Et si nous faisions alors l’organisation nécessaire pour que ça dure ?
